Bonjour Marie-Jo, Je viens de lire ton message avec attention, neutralité et bienveillance. Je prends note de ta position et de ton amitié pour la personne qui m'a agressée. Je ne t'en tiens pas rigueur. Je prends juste note. Je tiens à préciser que personne n'a le droit de toucher au corps d'une autre personne sans son consentement et encore moins le droit de lui fracturer un os. Ton amie n'a pas ce droit quelque soit votre degré d'amitié. Ton amie n'a pas le droit de m'agresser ni verbalement ni physiquement. Ton amie n'a aucun sur un autre être humain. J'ai porté plainte. Les Urgences m'ont soignée. La Clinique spécialiste de la main m'a prise en charge rapidement pour que je ne perde pas définitivement l'usage de la ma main droite. Ton amie a porté atteinte à mon intégrité : physique, morale, émotionnelle et psychologique. La police judiciaire est en train de faire son travail dans cette agression dont j'ai été victime. C'est moi la victime. Et ton amie est mon agresseuse. Le procureur de la république a été informé. Et la justice fera également son travail.

Bonjour Muriel,

Je serai parmi vous.

Bonne soirée,

gania